Frontex Quarterly Report for 2011 – Eastern, Western and Central Mediterranean
Frontex Quarterly Report for 2011 – Eastern, Western and Central Mediterranean https://euromediter.eu/wp-content/themes/corpus/images/empty/thumbnail.jpg 150 150 Euro Mediter https://euromediter.eu/wp-content/themes/corpus/images/empty/thumbnail.jpgThe Frontex Risk Analysis Unit released its 3rd Quarter Report (July-September) for 2011 on 18 January 2012. The report contains a significant amount of information, graphs, and statistical tables regarding detections of illegal border crossings, irregular migration routes, detections of facilitators, detections of illegal stays, refusals of entry, asylum claims, and more, in the Mediterranean area.
Over 38 000 migrants were detected crossing illegally into the EU in the third quarter of 2011, which constitutes an 11% increase in comparison to the same period last year. Consistent with recent trends the majority of migrants entered the EU in a small number of hotspots: Greece remains a transit country for most migrants who tend to move from there to other Member States – there were over 18 000 detections at the Greek/Turkish border. Spain experienced the highest level of detections in three years, and an increase of 60% compared to year ago, with over 3 500 detections of North African and sub-Saharan migrants. As a result, the Western Mediterranean is now the third largest point of entry into the EU. The situation in the Central Mediterranean has been highly volatile throughout 2011: the number of detections on the Italian island of Lampedusa, which has been the main destination of migrants from the beginning of the year, dropped by half in comparison with the previous quarter but still amounted to over 12 000 arrivals. Unfortunately, hundreds of Tunisians who departed Tunisia for Lampedusa by sea in early 2011 remain missing. Some of the missing almost certainly died at sea, but family members remain hopeful that others survived the voyage and are now in Italy or elsewhere in Europe. Click here for signing the petition for missing Tunisian migrants.
————————————————————————-
L’Unité d’analyse des risques Frontex a publié son rapport du 3ème trimestre (Juillet-Septembre) pour l’année 2011 le 18 Janvier 2012. Le rapport contient une quantité importante d’informations, graphiques, tableaux et statistiques concernant lesdétections de franchissement illégal des frontières, les itinéraires de migration irrégulière, les détections des facilitateurs, les détections de séjours illégaux, les refusd’entrée, les demandes d’asile dans la région méditerranéenne.
Plus de 38 000 migrants ont été détectés alors qu’ils tentaient de franchir illégalement la frontière dans l’Union européenne durant le troisième trimestre de 2011, ce qui constitue une augmentation de 11% par rapport à la même période l’an dernier.Conformément aux tendances des dernières années la majorité des migrants entrent dans l’UE par un petit nombre de paasages: la Grèce reste un pays de transit pour la plupart des migrants qui ont tendance à se déplacer de là vers d’autres États membres– il y avait plus de 18 000 détections à la frontière grecque / turque. L’Espagne a connule plus haut niveau de détections en trois ans, et une augmentation de 60% par rapportà l’année dernière, avec plus de 3 500 détections venant de l’Afrique du Nord et demigrants subsahariens. En conséquence, la Méditerranée occidentale est maintenant le point le plus important d’entrée dans l’UE. La situation dans la Méditerranée centrale a été très variable tout au long de 2011: le nombre de détections sur l’île italienne de Lampedusa, qui a été la principale destination des migrants depuis le début de l’année,a chuté de moitié en comparaison avec le trimestre précédent, mais s’élève encore àplus de 12 000 arrivées. Malheureusement, des centaines de Tunisiens qui ont quitté la Tunisie pour Lampedusa par la mer au début de 2011 sont toujours portés disparus.Certains ont certainement péri en mer, mais les membres des familles gardent l’espoir que d’autres aientt survécu au voyage et soient maintenant en Italie ou ailleurs en Europe. Cliquez ici pour signer la pétition pour les migrants tunisiens portés disparus: www.storiemigranti.org/spip.php?article995